Notes de lecture
the so-called philosophy of the so-called computer community
(image à partir du site web de Guillaume Brioudes)
- L’opposition classique entre un Platon (note: il a un Mac) qui pointe son monde des idées (le software – regardons les colonnes architecturales, dont la construction n’est pas fortuite, conditionnée par des frameworks, ex. React…) et un Aristote (KITTLER) (note: il ne tient pas un ordinateur) qui reste ici-bas, près de la matière (parlant un langage «bas», low-level, proche de la machine, comme assembly).
- Le regard curieux de la communauté open-source (ce qui fourmille le plus aujourd’hui en informatique, c’est dans le domaine du libre – tous les géants comme Facebook, Microsoft, etc. ont d’ailleurs d’importantes parts dans l’informatique libre).
- Quelques-uns (comme moi) pointent du doigt les «philosophes» qui se nourrissent confortablement d’images sur un iPad (triste ironie), mais demeurent à la périphérie.
- Les «écrivains» lassés de ce débat, qui souhaitent juste écrire sur un dispositif propriétaire et qu’on leur foute la paix.
instead, it defines software as necessarily a material thing
there is no software – il n’y a que de la matière. Kittler insiste: il faut éviter de tomber dans la distinction ontologique entre software/hardware.
Only in Turing’s paper On Computable Numbers with an Application to the Entscheidungsproblem does there exist a machine with unbounded resources in space and time, with an infinite supply of raw paper and no constraints on computation speed.
Sans contraintes, un logiciel tend à croître jusqu’à consommer toutes les ressources disponibles.
In the fullness of time, all software expands to consume available computational resources. https://t.co/QNqXZak4Q6
— Grady Booch (@Grady_Booch) October 4, 2020