Le code (suite)
Étude de cas: application Alerte COVID (Canada) / Immuni (Italie)
Software et écriture
Exemple: les règles d’indentation du kernel de Linux1.
Pour Marcello: les applications ne conditionnent pas la pensée: elles la produisent.
Les niveaux de code
- les applications (aucun code)
- haut niveau: la dernière couche de code
- bas nivau: les bibliothèques (beaucoup de code, plus verbeux)
- kernel: interaction avec le matériel (carte Wi-Fi, carte graphique pour afficher les couleurs, etc.)
- pilotes: aujourd’hui, les périphériques (imprimantes, microphones, etc.). Un pilote est un «manuel d’instruction» pour la machine (voici un microphone, voici comment l’installer). Un pilote qui n’est pas libre/ouvert est forcément un malware (il n’y a pas de bonne raison de cacher le hardware; si le logiciel opacifie son fonctionnement, c’est parce qu’il ne veut pas le montrer… pourquoi?).
Pour l’anecdote, dans l’entreprise où j’ai travaillé auparavant, un développeur a commenté dans le code qu’il requérait de la part de tous «une indentation de 4 espaces, et que toute personne qui ne s’y conformait pas serait trainé dans la rue et exécutée» (je paraphrase et traduis librement). ↩︎